• Monaco se découpe en plusieurs quartiers, 

    -celui du rocher (déjà vu), 

    -celui que l'on domine depuis les jardins de St Martin  Ce quartier entièrement bâti sur la mer, se compose d'immeubles d'habitation, de bureaux, d'usines discrètes et non-polluantes, d'installations sportives et d'un centre commercial qui regroupe 36 magasins autour de l'hypermarché Carrefour,

    - celui au bas du rocher, non loin du port : La Condamine; C'est le quartier traditionnel et commerçant de la Principauté, situé au pied du Rocher, d'où l'on peut admirer la Rampe Major et ses deux portes du XVIème siècle.

    Dans ce quartier on peut voir  l'Eglise Sainte Dévote  dédiée à la Sainte Patronne de la Principauté et qui  a été construite au XIème siècle. 

     

    MONACO - ville basse

     

    Un autre quartier célèbre : Monte-carlo

    Le quartier de Monte-Carlo fut fondé par le Prince Charles III en 1866, autour du majestueux Casino  construit en 1863 d'après les plans dessinés par Charles Garnier et de ses jardins. 

     

     

     

     


  • Placée face au port de Saint-Jean-de-Luz, une majestueuse demeure faite de briques roses et de pierres, modernisée en 1640 par l’armateur Joannot de Haraneder, est un bel exemple de l’architecture classique de l’époque. En effet, elle est facilement reconnaissable grâce à ses doubles arcs de galeries à la vénitienne, la symétrie parfaite de sa façade ainsi que ses lucarnes situées sur la corniche.

    SAINT JEAN DE LUZ  (4)

     

     

    Surmontée d’une tour de vigie d’où Joannot pouvait surveiller le mouvement de ses navires, cette maison dite « de l’Infante » a eu l’honneur d’accueillir la future reine de France, Marie-Thérèse d’Autriche infante d’Espagne, âgée, comme son illustre époux Louis XIV, de 22 ans. Elle y logera du 7 au 9 juin 1660 et fut reçue par la reine-mère Anne d’Autriche, qui y séjournait déjà depuis un mois.

     

     


  •  La vie économique de Saint-Jean-de-Luz était essentiellement basée sur l’activité maritime. Tout naturellement, les hommes se livrèrent au dur métier de la pêche tandis que les femmes préparaient et vendaient le poisson. Ce sont ces dernières, surnommées kaskarots qui, après avoir négocié directement le poisson au bateau, couraient le vendre, pieds nus et panier sur la tête, jusqu’au marché le plus proche. Elles furent également filetières puis, au début du XXème siècle, elles travaillèrent dans les usines de sardines.

     

    SAINT JEAN DE LUZ  (3) - bord de mer

     

    Saint Jean de Luz est une station balnéaire recherchée surtout depuis le début du XXème siècle. La plage est très vaste, elle est bordée par plusieurs beaux immeubles et belles maisons en front de mer. 

     


  • Le Palais est situé sur un site géologique unique et spectaculaire, un rocher de plus de 60 mètres de haut, au centre d’une ville construite en amphithéâtre face à la mer Méditerranée, au pied des Alpes. Il a été édifié sur l'emplacement d’une forteresse médiévale établie par les Génois en 1215.

     

    MONACO - la garde (1)

    Du XIVe au XVIe siècle, la façade sur la place fut ornée de loggias. La galerie d’Hercule, la salle du Trône et la cour d’Honneur furent créées à la Renaissance du XVe siècle. Les souverains actuels firent construire une nouvelle aile abritant leurs appartements, le musée des souvenirs napoléoniens et les archives du palais princier.

    La place, où subsistent les canons de Louis XIV, est longée d'un côté par la promenade Sainte-Barbe, donnant sur le cap d'Aïl, et de l'autre, par un parapet crênelé dominant le port.

     

     

    et un oiseau bleu pour mon amie Khanel

     

    MONACO - le Palais


  • Les Jardins Saint-Martin furent créés au début du 19e siècle au moment où la mode des jardins se développait sur la Riviera. 

    Les petits chemins nous font découvrir la flore méditerranéenne complétée d'une multitude d'essences exotiques  (plantes grasses, bambous..)

     Ces jardins étaient très appréciés par Guillaume Apollinaire .

     

    MONACO - les jardins (2)

     

     

    Enfance

    Au jardin des cyprès je filais en rêvant, 

    Suivant longtemps des yeux les flocons que le vent 

    Prenait à ma quenouille, ou bien par les allées 

    Jusqu'au bassin mourant que pleurent les saulaies 

    Je marchais à pas lents, m'arrêtant aux jasmins, 

    Me grisant du parfum des lys, tendant les mains 

    Vers les iris fées gardés par les grenouilles. 

    Et pour moi les cyprès n'étaient que des quenouilles, 

    Et mon jardin, un monde où je vivais exprès 

    Pour y filer un jour les éternels cyprès.

    Guillaume Apollinaire

     

    Poèmes à la marraine

     

     





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