• L'exposition permanente compte 6000 pièces de ferronnerie, s'échelonnant de l'époque gallo-romaine jusqu’au 20ème siècle. Le musée présente aussi bien des grilles en métal, rampes d'escalier en fer forgé, serrures, enseignes que du mobilier, des instruments scientifiques, des objets de la vie quotidienne, voire de la bijouterie.

     

    C'est un musée qui expose beaucoup d'objets de la vie courante :

     

    des enseignes, art de la rue qui envahit les villes au 18ème siècle pour attirer l'œil d'un passant analphabète,

     

    des serrures (les compagnons commençaient toujours par forger la clé avant de réaliser la serrure),

     

    des grilles en fer forgé se prêtant aux effets de claire voie,

     

     

     

    des objets de la vie domestique et outils classés par corps de métier parmi lesquels on peut citer les instruments du coiffeur, les couteaux, les instruments de mesure des artisans, etc...

     

    des articles d'apparat comme les bijoux en fer forgé, qui, précise-t'on, n'étaient pas considérés comme des substituts moins coûteux des bijoux en métaux précieux.

     

     

     

     

    ROUEN -8- Musée (fin)

    départ  imminent....


  • L'église Saint Laurent construite au cours du XVIème siècle (dans le stylegothique flamboyant) a rencontré au cours des siècles des fortunes diverses.

     

    Lors de la Révolution, elle fût d'abord désaffectée puis pillée avant d'êtreutilisée comme un vulgaire atelier.

     

     

     

    En 1893, en mauvais état, elle est finalement rachetée par la ville de Rouen.

     

    C'est au peintre, photographe, imprimeur et formidable collectionneur, 

    Henri Le Secq des Tournelles à qui l'on doit d'avoir trouvé à cette

    église son utilité actuelle. En effet, déçu par Paris, il décide

    de léguer à la ville de Rouen sa collection de fer forgé.

     


  • Cette institution très originale occupe une ancienne église gothique et abrite la plus grande collection de ferronnerie ancienne au monde. 

     

    8000 pièces, de l’époque gallo-romaine au XIXe siècle, sont présentées, touchant à tous les registres, des applications monumentales (grilles, rampes d’escalier, serrures, enseignes) au mobilier en passant par les instruments scientifiques et les bijoux.

     La présentation dans l’église, imaginée par le donateur, Henri Le Secq des Tournelles, est particulièrement spectaculaire.

     


  • L'église Sainte-Jeanne-d'Arc, ainsi que les halles du marché, ont été édifiées sur les plans de l'architecte Louis Arretche.

    Cette église à l'architecture audacieuse et contestée, permet d'admirer les vitraux du chœur de l'ancienne église Saint-Vincent, située jadis en bas de la rue Jeanne-d'Arc et détruite en 1944. Son aspect évoque à la fois un bateau viking et un poisson. Elle fut inaugurée le 27 mai 1979 par Valéry Giscard d'Estaing, président de la République. 

     

     

    On peut y voir 13 verrières du XVIe siècle, réalisées en 1520-1530, enchâssées dans le mur nord de l'église, provenant du chœur de l'ancienne église Saint-Vincent

    La voûte aux formes arrondies avec sa charpente en bois rappelle les formes des drakkars vikings.

     


  • Le village de Gourdon est perché sur un pic vertigineux de 760 m et surplombe la vallée du Loup.

    Cet emplacement lui a valu le surnom de « Nid d'Aigle ».

     

     

    Il fait partie des 149 plus beaux villages de France et possède deux fleurs au Concours des villes et villages fleuris.

    Je vous propose de le découvrir

     

     

    je dédie cet article à Khanel





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