• On y fabrique le papier antaimoro dont l'origine remonte aux premières immigrations arabes au début du XVIe siècle et qui est réputé dans toute l’île. La pâte est faite avec l'écorce d'un arbuste, le avoha ; encore humide, on la décore de motifs avec des fleurs séchées.

    Ambalavao développe une fabrication artisanale de papier " antaimoro" très réputée dans le pays. 

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    L'écorce de l'arbre Avoa est récoltée, puis pilée et ensuite mélangée avec de l'eau.

     

    Le mélange est étendu sur une plaque de soie où l'eau est éliminée en grande partie.

     

    Le mélange est ensuite découpé selon des formes destinées à préparer le produit final (cartes postales, sacs, etc...)

     

    Des fleurs ou plantes sont ensuite posées pour enjoliver le produit final

     

    Le tout est mis à sécher au soleil.

     

    Ce produit est donc à 100 % naturel et entièrement fait main.

     

     


  • Ambalavao est située aux confins des Hautes Terres et du pays Betsileo.

    Elle se niche au fond d’une vallée entourée de montagnes granitiques et surplombée par le massif de l’Andringitra et le pic Boby, le deuxième sommet de Madagascar avec 2 876 mètres

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    Ambalavao est aussi la ville des marchés aux zébus, étant arrivés trop tard, nous n'avons pu voir que la marché traditionnel et la sortie des classes, pousse pousse assez typique !!

     

     


  • Aux portes des montagnes de l’Andrigintra, avant Ambalavao (en venant du sud), se dressent les 3 sœurs, 3 sommets granitiques dont le plus haut Iandrampaky culmine à 1575 m et dont le flanc nord se déverse en un chaos rocheux granitique vieux de 1 600 000 ans.

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    Nous croisons des troupeaux de zébus allant au marché sans doute.

    Un peu plus loin un village aux maisons en torchis.

      Le torchis ou ritso peta (boue projetée) est plaqué sur une cloison de roseaux. Cette technique ancienne se retrouve dans pratiquement toutes les régions de l'île.

    La latérite, mêlée à de la paille de riz hachée constitue une pâte, qui est projetée des deux côtés de la cloison afin d'en assurer l'étanchéité.

     

     


  • A l’intérieur de ses remparts,   Beaune protège ses hôtels particuliers, maisons à colombage, places fleuries et jardins ….

    Ils forment autour de la vieille ville un chemin de ronde presque ininterrompu (mais des enclaves privées empêchent d'en faire le tour) de 2 km. Leur ceinture est ponctuée  de huit bastions et de quelques tours.

    La porte Marie de Bourgogne abrite l'office du tourisme ainsi qu'un musée.

    Ce bâtiment a été autrefois un maison de négoce pour le commerce de vins.

    Ne pas oublier que découvrir Beaune  est la capitale des Vins de Bourgogne.(même si on n'en boit pas !!)

                                HISTOIRE

     

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    Le 4 août 1443 naît l'Hôtel-Dieu. La guerre de cent ans n'est pas encore terminée, Beaune souffre de misère et de famine, les "écorcheurs" pillent et ruinent les campagnes. Les Beaunois sont dans leur grande majorité déclarés indigents.

     

    Nicolas Rolin, chancelier du Duc de Bourgogne Philippe le Bon, et son épouse Guigone de Salins, décident alors de créer un hôpital pour les pauvres.

     

    Le 1er janvier 1452, l'hôpital accueille son premier patient. Vieillards, infirmes, orphelins, malades, parturientes, indigents, fréquentent l'institution du Moyen Âge au XXe siècle. 

    Les Sœurs Hospitalières prodiguent les soins sans relâche et demeurent l'essence même, pendant des siècles, de l'Hôtel-Dieu.

     


    Beaune , arrivée par chevrette13


  • Nancy partage avec une poignée de villes européennes le privilège d'abriter des monuments à l'architecture de style Art Nouveau

     

    Nous allons en découvrir quelques édifices.

     

    L'actuelle agence BNP est un édifice Art Nouveau construit en 1910 par Emile André et Paul Charbonnier pour le compte du banquier Charles Renauld. Le grand hall a perdu sa verrière de Gruber, mais a conservé son aspect ainsi que les ferronneries de Louis Majorelle.

     

    L'Excelsior (ancien hôtel d'Angleterre)   Construit de 1910 à 1911 par Lucien Weissenburger (1860-1929) et Alexandre Mienville (1876-1959.

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    La Chambre de Commerce  fut construite de 1906 à 1908 par Emile Toussaint (1872-1914) et Louis Marchal (1879-1954). Antonin Daum fera évoluer le projet néo-classique vers le style actuel du bâtiment. Jacques Gruber sculpta le décor et fit les 5 verrières du rez-de-chaussée, Louis Majorelle fournit les ferronneries et amalric Walter (1870-1959) les panneaux pâte de verre de la salle de réunion

     

    Les magasins Vaxelaire par Charles André en 1899-1901, et dont la réalisation des devantures est due à Emile et Eugène Vallin. Le bâtiment a été fortement abîmé et seules deux travées subsistent

     

     

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    Sur la place très animée du marché découvert, se dresse l’église Saint-Sébastien, édifiée au XVIIIème siècle sur des plans d’une église halle et dont la façade incurvée est inspirée de Sainte-Agnès de Rome.

    L'édifice se dresse dans un quartier qui fut toujours très actif et riche en artisans (le ferronnier Jean Lamour possédait un maison dans ce secteur) et manufacturiers (tanneurs, drapiers, batteurs d'or, ...). Le quartier vit le jour en 1589 par la volonté du duc Charles III qui voulait égaler les cité italiennes modernes

     


    Nancy (6) fin par chevrette13