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    Au n°35, rue des Ecuyers il est possible de rentrer dans la cour pour admirer d'un peu plus près l'édifice.

    A cette adresse se trouve la maison hébergeant l'escalier de la Reine Berthe. 

    Il s'agissait autrefois de l'hôtel des consuls, appelé aussi Maison des Vieux-Consuls. 

     

     

    CHARTRES et ses rues

    C’est seulement au XVIIIe siècle que l'escalier pris le nom de Reine Berthe, en allusion à Berthe de Bourgogne, veuve du comte Eudes de Chartres en 995, remariée au roi de France Robert le Pieux et qui termina sa vie dans le château tout proche. 

     


  • Nous poursuivons la visite de Chartres :

    l'église St Aignan.

    Saint-Aignan est richement meublée au cours des décennies suivantes : autel, grilles du chœur, orgue et chaire sont représentatifs du style néo-gothique alors en vogue. 

    L’église Saint-Aignan conserve un ensemble de vitraux remarquables, appartenant notamment au XVI° siècle.

    Nous allons emprunter un tertre pour rejoindre la ville basse.

     

    CHARTRES - balade dans la ville

    Des tertres, nom donné à ces dénivellations pourvues ou non d'escalier et datant du Moyen-Age, permettent de relier la ville haute à la ville basse et les berges de l'Eure.

    Chartres compte cinq tertres, dont le Tertre Saint-Nicolas, qui longe le jardin des Evêchés et était autrefois utilisé par les porteurs d'eau.

    Les rives de l'Eure sont pittoresques, avec leurs nombreux ponts, lavoirs et moulins à eau, ainsi que leurs jolies maisons et jardins fleuris. Les rues de la ville basse portent encore le nom des anciens métiers qui l'animaient au Moyen Age : rue de la Tannerie, rue de la Poissonnière, rue du Massacre.

     


  • A Aigues mortes, 12 sauniers mettent leur savoir-faire au service du sel. Chaque jour, ils parcourent les 340 km de piste, guidant le sel, de la mer jusqu’à l’usine. Ils ne forcent pas la nature : produire du sel prend du temps, et à chaque étape sa saison.

     

    AIGUES-MORTES  les salins (2)

    Chaque année, la récolte dure un mois, en septembre.

     450 000 tonnes de sel sont ainsi récoltées et stockées sous forme de grosses montagnes blanches. Ces « camelles »mesurent en moyenne 400 mètres de long et 25 mètres de haut.

    La collecte est mécanique. Ce qui n’est pas le cas pour la fleur de sel, ramassée à la main par les 12 sauniers du site.

    Les sauniers baguent les oiseaux (couronne d’aluminium accrochée à la patte), surveillent les oiseaux protégés et créent des îlots pour favoriser la nidification. Ces agriculteurs du sel connaissent les milliers d’hectares du salin comme leur poche, mais aussi leurs habitants qu’ils protègent tout au long de l’année.

     


  • L'exploitation d'Aigues Mortes produit chaque année 500 000 tonnes de sel et en fait une référence mondiale. 

    En Camargue, le sel est très largement présent dans le sol et la nature du terrain très plat et argileux, parsemé d'étangs, se prête bien à l'extraction du sel de mer. C'est également la région où l'évaporation est la plus intense et les pluies les plus faibles.

     

     

    AIGUES-MORTES les Salins (1)

    La vocation salinière d'Aigues-Mortes remonte à l'Antiquité. Peccius, ingénieur romain, a été chargé, au début de l'ère chrétienne, d'y organiser la production du sel. 

    En 1856, les différents propriétaires de salins s'unissent pour fonder les Salins du Midi.

    Les bassins de préconcentration et d'évaporation de Salin-de-Giraud s'étendent sur 14 000 ha. 

    Le Salin d'Aigues Mortes est dédié à la culture d'un sel de mer de qualité, essentiellement destiné à l'alimentation.

     


  • Nous quittons le quartier de la cathédrale et la rue du cloître  pour nous rendre  au 8-12, rue de la poissonnerie à Chartres où se trouve la maison du tourisme, communément appelée maison du saumon

     

    La maison du saumon à Chartres

    Il s'agit d'une maison à colombages construite dans les années 1500. 

     

    La maison doit son nom à une sculpture d'un saumon. 

     

    La Maison du Saumon fut habitée par Catherine Maubuisson, dame de Borville, à la tête d’un important négoce d’import export.

    Outre le saumon, la façade présente une Annonciation et saint Michel terrassant le dragon. En 1950, la façade et les combles de l’immeuble ont été classés monuments historiques.