• Il y a un phare au Cap Fréhel depuis Louis XIV et Vauban.

    La « tour à feu » qu’ils firent édifier en granit en 1702, sur les plans de Simon Garangeau, est toujours visible à gauche du phare actuel. 

    Elle a d’abord fonctionné au charbon et au suif par beau temps avant de fonctionner à l’huile de poisson puis à l’huile végétale avec l’apparition des lentilles en 1774.

    Le phare actuel est l’un des cinq phares français les plus puissants.

    CAP FREHEL

     

    Les falaises surplombent la Manche d'environ 70 mètres.

    La végétation est surtout composée  de bruyères et d'ajoncs.

     


  • Ouvert au public en 1976, le musée de l'Empéri est un musée militaire qui accueille une importante collection d'objets allant de l'Ancien Régime à la Grande Guerre.

    27 salles sont ouvertes au public. Chacune présente des vitrines où sont exposés des objets et des mannequins de cavaliers entièrement équipés.

     

     

    SALON de Provence - château de l'Empéri (2)

    Les collections Raoul et Jean Brunon furent constituées à partir du début de ce siècle par deux frères marseillais.

    Jean revint seul de la Grande Guerre et poursuivit l'oeuvre entreprise avec son frère. Ainsi naquit ce qui devînt en un demi-siècle un ensemble d'une richesse exceptionnelle sur l'histoire des armées françaises depuis le XVIIe siècle par l'objet, l'image et le document (armes, uniformes, drapeaux, décorations, équipements et harnachements, peintures, dessins, gravures, documents, autographes, affiches, livres et objets de toute nature).

     

     


  • Parmi les plus grands châteaux que compte la Provence,

    le château de l'Empéri impose ses remparts plantés sur les hauteurs de Salon de Provence, dénommées le rocher du Puech.

    Son époque de construction tourne autour des IXe-Xe siècle, sans qu'aucune année précise ne soit connue. On retiendra notamment que le château fût un lieu de résidence prisé des archevêques d'Arles, qui prirent la décision de la construction d'une forteresse en ce lieu.

     

    SALON en Provence - le château de l' Empéri

    Le château fût en outre longtemps sous l'autorité des empereurs du Saint-Empire romain germanique, d'où son nom. De son origine médiévale, il ne reste plus grand chose à ce château qui fût maintes  fois remanié à partir du XIIIe siècle à mesure qu'évoluaient ses fonctions. Il n'en reste pas moins un édifice en parfait état de conservation ayant bénéficié d'importants travaux de restauration.

     


  • La cour abrite de nombreux aménagements, tels que la citerne, la chapelle construite sous Louis XIV et le donjon.

    Entièrement remblayée au XVIIe siècle pour y utiliser les canons, le sol médiéval originel se trouve jusqu'à huit mètres de profondeur en dessous du sol actuel. Les fouilles archéologiques ont par ailleurs révélé une tour carrée qui servit probablement de tour de garde entièrement enfouie sous la terre.

    La citerne d'eau, d'une capacité de 20 000 L, devait pouvoir servir à toute la garnison .

    Le Fort-la-Latte possède aussi un four à boulets qui permettait de chauffer au rouge les boulets de canon.

     

    FORT-La-Latte (2)

     

    Un deuxième châtelet protège la cour. On y trouve notamment une oubliette. Muni lui-aussi d'un pont-levis et d'une herse, il ne reste du châtelet médiéval que les deux tours, le reste ayant été pulvérisé par la canonnade du XVIe siècle.

     

     

    Merci à Marie-France qui passe chaque jour sur le blog mais  à qui je ne puis répondre car pas de lien 

     


  • Le château de Fort-la-Latte, situé à la pointe du même nom, en face du cap Fréhel dans le département des Côtes-d'Armor, est l'un des plus célèbres châteaux bretons. Remarquable par sa situation sur un cap rocheux, face à la mer, il a servi de décor à de nombreux films.

     La construction du château commença dans les années 1340, son donjon date des années 1365-1370.

     

    FORT- La -Latte (1)

     

    Il servira jusqu'à la fin du Premier Empire où l'évolution des techniques militaires conduisit à son inadaptabilité. 

     

    Le fort est muni de deux châtelets, l'un s'ouvrant sur la barbacane, l'autre sur la cour du château ; chacun possède son pont-levis. Dans la cour, on retrouve une citerne d'eau, une chapelle, les différents moyens défensifs (notamment les emplacements des batteries de canons) et bien sûr le donjon.

     

    Sur le chemin menant au château, on peut observer un petit menhir dressé qui selon la légende serait le doigt de Gargantua.