• Saint Pierre et Saint Paul cathédrale de Pointe à Pitre

    La cathédrale de style néo-classique est constituée d'une armature métallique Eiffel posée en 1872 puis habillée par la suite.

     

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    La façade massive, de style néo-classique, a été dessinée par l’architecte Petit.

    La structure métallique du bâtiment est conçue pour résister aux tremblements de terre.

    Elle a été édifiée en 1847, après que le bâtiment d’origine a été victime des colères de la terre.

     Elle se situe dans un quartier aux maisons de style colonial .

     

     


  • Un autre marché incontournable dans la ville de Pointe à Pitre : le marché couvert Saint-Antoine (à l'angle des rues Thiers et Frébault. 

     

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    Autrefois place Royale, puis place de la Liberté, la place du Marché est la plus ancienne de Pointe-à-Pitre.

    Appelé autrefois « Marché à la viande », le marché Saint-Antoine accueille au début des années 1960 les bouchers sur des étals bétonnés qui aujourd'hui n'existent plus.

    Les halles métalliques qui datent de la fin du XIXe siècle abritent les vendeuses d'épices et punchs.

    Impossible de passer inaperçus,

     les marchandes appellent les doudous pour leur faire goûter les produits, leur donner des recettes.

    Difficile de repartir les mains vides.

     

     


  •  Des maisons créoles, des maisons à l'architecture coloniale côtoient des constructions plus modernes. 

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    La structure typique de l’architecture des Caraïbes : maison  construite complètement en bois avec des balcons de fer.

     

    Il faut déambuler dans les rues pour les trouver.

     

    N'oublions pas les catastrophes climatiques qu'a subi l'île.

    La dernière catastrophe en date est le cyclone de 1928.

    L’architecte Ali Tur est chargé de reconstruire la ville, changeant son aspect général.

    Les premières tours sont édifiées au début des années 1960.

     


  • Ce musée est installé dans la maison Souques-Pagès, une des plus belles demeures coloniales de Pointe-à-Pitre où résidaient autrefois les patrons de la sucrerie Darboussier.

    Il n'existe en fait qu'une seule autre maison identique à celle-ci, c'est l'Habitation Zévallos à Moule.

    (article à venir sur cette maison)

     Surprenante par son balcon très travaillé et la frise en zinc, ornant l'édifice, elle a été construite selon la conception de Gustave Eiffel

     

     

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    Au rez de chaussée, reconstitution d'une demeure avec des mannequins en guise de résidents, de riches blancs à la fin du XIXè siècle évoluant au milieu de gravures et cartes des Caraïbes et des expositions temporaires. 

     

    A l'étage, quelques témoignages sur la vie littéraire de Saint-John Perse, de son vrai nom

    d'Alexis Saint-Léger.

    Diplomate et poète, il vécut les douzes premières années de sa vie en Guadeloupe et en garda un vif souvenir.

    On y retrouve une collection d'objets personnels du prix nobel, qui s'enrichit au fur et à mesure des donations, ainsi qu'une bibliothèque dédiée à son oeuvre. 

     

     

     

    Alexis Saint Léger est né en 1887 à Pointe-à-Pitre, et il passe les premières années de sa vie dans les propriétés familiales. Mais la famille Léger est partiellement ruinée lors du séisme de 1897. Aussi décide-t-elle de quitter définitivement les Antilles après plus de deux siècles passés dans les îles. Saint-John Perse ne retourna jamais sur son île natale. Il reçut le prix nobel de littérature en 1960. 

    Texte : Marie-France et Max Etna