• En cours de navigation nous croisons d'autres embarcations et nous pouvons voir des gens travailler dans les rizières.

     

     

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    D'autres en profitent pour faire la lessive ou se laver.

    Nous arrivons au port de  Tsimafana.

    Important trafic de camions qui chargent ou déchargent.

    Il y a même des décortiqueurs de riz.

     

     

     

     

     


  • Nous nous dirigeons vers l'embarcadère de Belo pour prendre le bac que nous avions vu de loin lors de notre croisière sur la Tsiribihina.  

     

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    Mais cette fois-ci ça va être à notre tour d'y monter !!!

     

    D'ailleurs Naina nous demande de descendre du véhicule lorsqu'il va l'embarquer !!

     

                                    OUF !! il a réussi !!

     

    Durée de la traversée  vers Tsimafana 45 min.

     

     

     

     


  • L’origine du nom remonte à un épisode sanglant datant de 1818 qui vit s’affronter dans la région les troupes Merina aux Sakalava. Après les combats, le champ de bataille fut jonché de cadavres, ce qui valut au village son nom. C’est en 1914 que Belo accéda au rang de ville administrative

     

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    Belo-sur-Tsiribihina est une paisible bourgade qui s’anime les jours de marché aux zébus.

    Elle voit débarquer produits agricoles, tabac, haricots… et les touristes ayant navigué sur le fleuve.  

    La petite ville a un port fluvial protégé par l’embouchure de Tsiribihina.

    De là circulent beaucoup de bateaux qui approvisionnent la petite ville au bord du fleuve de marchandises et qui procèdent au transport de passagers.

     

     

     

     

     


  • En 1692, Vauban, après l'invasion de la haute vallée de la Durance par le duc de Savoie Victor Amédée, conçoit pour Sisteron un vaste plan de défenses intéressant la ville et la forteresse. 

    De l'ambitieux projet, seuls la poudrière et le puits de cette dernière sont réalisés. 

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    Dans l'enceinte de la forteresse, on peut visiter le Musée dont une salle aménagée dans une casemate est consacrée au Retour de l'île d'Elbe.

    Soixante documents d'époque évoquent la glorieuse épopée.

    Sur le parcours un véritable musée de la voiture à cheval offre un exemplaire de chaque type des véhicules qui animaient nos routes et aidaient au travail des champs voilà cent ans et moins même.

      


  • Classée monument historique, c'est la pièce maîtresse de la ville (XIème - XIIIème - XVIème - XIXème s.) Jehan Sarrazin, ingénieur militaire d'Henri IV, puis Sébastien Vauban ont marqué de leur sceau ce  monument.

     

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    Le rempart supérieur, ou chemin de ronde, ponctué d'un puissant donjon remonte au XIIe siècle.

    A cette ligne de faîte on a adapté, après les destructions des guerres de Religion, vers 1590, au nord et au midi un étagement d'ouvrages bastionnés auquel venait se souder le rempart enserrant la ville depuis le XIV' siècle.

    La face sud comporte trois enceintes fermées de portes bien défendues. Celle nord, deux seulement.

     

    Début de la visite