• Les Baobabs de Madagascar: 

     

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    Il existe 8 espèces de Baobab dans le monde dont 7 sont à Madagascar.

     

    Nous allons à la rencontre des Baobabs amoureux.

     Le baobab amoureux, dont le tronc se divise en deux pendant sa croissance, existe vraiment.

     Ce sont des Adansonia fonii. 

     Toutes les espèces de Baobabs endémiques de Madagascar sont en danger, à cause des feux de brousse, des eaux d'irrigation pour la canne à sucre et des zébus qui mangent les jeunes plants. En fait il y a peu de régénération au sol.

    Les baobabs produisent de gros fruits de forme oblongue appelés Renala en malgache-. Les graines, logées dans une pulpe blanchâtre, sont protégées par une coque dure,  recouverte d’une peau marron et douce comme du velours.

    La pulpe du fruit contient des quantités importantes de vitamines essentielles ...

     

     


  • Saint-Maximin-la-Sainte-Baume est un gros bourg provençal  situé dans le département Var à 50 km de Marseille.

     

    Parmi les sites à voir dans la ville ,

    on commence par la fontaine qui  date de 1815.

    Projet de l'Empire Napoléonien, cette fontaine a été construite sous la Restauration. L'une des faces du corps central porte l'inscription "Post temporum calamitatis gallis reddita pace sub optimo.."

     

    2e édifice : la Mairie

    C'est l'architecte de la cour de Louis XV, Jean- Baptiste Franque, qui dessine les plans d'une nouvelle hôtellerie en remplacement d'un édifice vétuste.

    Vendu comme bien national à la révolution, il fut acheté par la communauté de la ville.

    Le bâtiment abrite aujourd'hui la mairie.

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    3e, le cloître

    En 1295, une communauté de religieux s'installe à Saint-Maximin et à la Sainte Baume. Dès lors, les batiments monastiques furent commencés parallèlement à la construction de la Basilique.

     

      


  • De 1842 à 1860, d'ultimes travaux tendent à "mettre à jour" la Citadelle.

    On relève les courtines.

     

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    On ouvre les deux portes charretières de la face sud.

    Au nord, la deuxième enceinte est remaniée; une citerne aménagée. Enfin on creuse le formidable escalier souterrain reliant la Citadelle à la porte nord de la ville, elle aussi reconstruite

    La Chapelle, "Notre-Dame du Château" dans les textes, remonte au XIVe siècle, sinon XVe siècle.

    On l'établit sur une terrasse portée par de puissantes arcades. Son vaisseau gothique est inondé de lumière .

    Créé en 1928, son théâtre de verdure accueille chaque été le festival des Nuits de la Citadelle et ses artistes internationaux.

    C’est l’un des plus anciens de France. 

     


  • Nous poursuivons notre piste, nouvel arrêt devant le baobab sacré.

     

    La légende dit que dans cette région de Morondava, vivait un sorcier fort connu.

    Les gens venaient de loin pour le consulter.

    Le jour de sa mort, là ou il avait toujours vécu, un immense baobab poussa.

    Depuis, les villageois viennent déposer des offrandes au pied du baobab. 

     

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    Les offrandes :

    Des moitiés de bouteilles plantées dans le sol pour aider à la fertilité,

    des billets pour la prospérité,

    du riz pour favoriser les récoltes

    et du miel dans une coquille d'escargot afin d'exhausser son souhait amoureux ...

     


  • Sur la piste qui nous conduit à Morondava, premier arrêt photo pour un caméléon.

     Furcifer oustaleti 

    C'est l'un des caméléons malgaches dont la zone de diffusion est la plus vaste.

    On le trouve partout sur cette île et même à proximité des habitations, voire dans les villes, dans des milieux humides et riches en végétation, mais également dans des zones semi-arides avec peu d'arbustes et de très rares plantes.

     

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    La base de la queue du mâle est plus épaisse du fait de la présence de deux hémipénis repliés chacun dans une poche.

    Le mâle est globalement marron avec une bande plus claire au centre du corps tandis que la femelle est verte avec des taches blanches ou bien présente une livrée marron clair et rouge lorsqu'elle est gravide . 

    Nous poursuivons la piste bordée d'une espèce de savane, de temps à autre une termitière.

    Les baobas commencent à se faire plus nombreux.