• Retour au Pavillon M à Marseille.

    Petit rappel , ce pavillon a été monté pour l'année 2013.

    Il se situe près de la mairie de Marseille  et devant le nouvel hôtel du centre ville (anciennement  hôpital hôtel dieu ).

    Il regroupe des expositions et centralise les informations culturelles et touristiques.

     

     

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    ""A l’occasion de l’année Capitale à Marseille, Pascal Morabito a présenté pour la première fois en Europe, au Pavillon M, « Multitude et Unité »

     

    Un envol poétique de 300 oiseaux en bois laqué blanc, signe de liberté, ouvre l’exposition.  Dans ce sillage, 100 mangroves, racines bénéfiques arrachées par les vagues sont transformées en sculpture de singes dévorants : Les Mentawai.

     

    Céramiques, jarres et vases, brisés par les séismes retrouvent une seconde vie. Pascal Morabito crée de nouvelles compositions dont les tessons brisés sont harmonieusement incorporés dans des coupes, plats ou bols de porcelaine immaculée. Il assemble ses oeuvres par thèmes liés aux catastrophes naturelles : Ouragans, Tsunamis, Séismes, Incendies, Erosion…""

     

     


  • Son nom semble être tiré du grec selinon, c’est-à-dire persil sauvage, qui ici fut trouvé en abondance par ses fondateurs.

    Selinunte fut fondée en 628 av. J.C. par les colons grecs .

    La ville se développa rapidement et atteignit son sommet au V siècle av. J.C. quand elle comptait presque 25.000 habitants. 

    Sa flotte maritime participa à la Guerre du Péloponnèse entre Athènes et Sparte.

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    Selinunte se divise en trois zones :

    l’Acropole, la colline des temples orientaux et le sanctuaire de Demetra Malophoros. 

     

    Le temple E est consacré à Héra . C'est un temple périptère  de 6 colonnes sur 15.

    Le temple G , non restauré,  présente un aspect chaotique. Les Carthaginois le détruisirent avant qu'il ne soit achevé.

     


  • L’église du Carmel :

    C’est l’une des plus anciennes de la ville, elle a été construite par les normands en 1089.

    Elle fut reconstruite et agrandie en 1579 par les carmélites, puis remaniée en 1817.

    Sur la façade actuelle inachevée, de style néo-classique, en pierres conchyliennes locales, on peut distinguer l’ancienne façade de l’église normande avec des voussoirs de pierres blanches et deux petites fenêtres juste sous les pentes de

    l’ancien toit.

     La rosace gothique a été créée par les carmélites

     

     

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    La porte de Palerme :

    L'intérieur de la porte, ne présentant pas les caractéristiques artistiques de l'importance historique, conserve les anciennes structures en bois qui ont été la véritable défense de la ville.

     Aujourd'hui, ces structures sont encore en excellent état de conservation, mais on peut voir que la construction a été renforcée avec des bandes de métal qui enveloppent la structure de façon à maintenir la structure principale.

     

    Au sommet, l'ancien emblème de la maison régnante de l'époque, un aigle  avec ses ailes repliées.

     


  • Dernières vues de la ville de Sciacca depuis le port de pêche, puis nous allons emprunter un escalier pour rejoindre la ville.

     

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    Un escalier un peu spécial, chaque contre-marche est décorée de céramiques.

    Un chef d'oeuvre à lui tout seul !!

     

     

     


  • Sur les coups de 6 heures du soir, il est intéressant de descendre au port de SCIACCA.

     

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    Les chalutiers reviennent de la mer.

    On assiste au déchargement de cagettes, déchargement souvent à la chaîne. Les poissons sont artistiquement bien rangés.

     

    Une vente à la criée  s'improvise alors, non formelle.

    Restaurateurs, revendeurs, mère de famille ou père viennent discuter les prix et repartent avec leur achat, à pied, en voiture.

    Certains emportent les caisses dans des triporteurs  Vespa et vont sillonner les rues de la ville pour les revendre.