• Une légende raconte que la création  de l'île de Ré proviendrait de terribles séismes  ayant englouti une cité romaine nommée "Antioche"  et que les seules survivantes de ces évènements seraient Ré et Oléron.
    Les rétais disent que les ruines de la cité mythique seraient visibles uniquement par beau temps.

     

     Ce n'est qu'une légende, mais, en 1809, un bateau s'est échoué sur la pointe de Chanchardon, et le capitaine du navire voit « les dallages de la banche calcaire qui lui paraîssent être les restes d'une construction romaine». De plus, le géographe Élisée Reclus situe, dans sa fameuse Géographie universelle, la ville d'Antioche à hauteur de Chanchardon.

     

    Mais, selon le dicton rétais, Quand Antioche réapparaîtra, Ré disparaîtra…

     

     



  • Le port de Royan : à la fois port de plaisance et port de pêche, il  dispose d’une importante flottille de chalutiers avec plus d’une centaine de marins-pêcheurs. 

     

     

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    Sur le littoral, alternent falaises  calcaires et plages, localement appelées conches

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Le 5 janvier 1945  vers 4 h du matin, 354 bombardiers Lancaster de la RAF déversent une pluie de plus de 2 173 tonnes de bombes sur le centre-ville. Le bombardement se déroule en deux vagues, la première commençant à 4 h 10, durant 20 minutes, la seconde à 5 h 20, durant 30 minutes. En quelques heures, le cœur de la ville, de la gare à Foncillon, est presque entièrement détruit, le port inutilisable, les plages déchiquetées, les casinos en ruines. Tout ce qui a fait le renom de la station balnéaire n’existe plus. 85 % du centre-ville disparaît, 442 Royannais et 35 Allemands trouvent la mort. On dénombre environ un millier de blessés. Sept avions alliés sont abattus pendant le raid.

     



  • La navette est une pâtisserie traditionnelle cylindrique, façonnée en forme de petite barque (navette) de 7 à 8 cm de long créée pour commémorer l'arrivée du Saint-Lazare et des deux "Maries" - Sainte-Marie Magdeleine et Sainte-Marthe qui mouillèrent à Saintes-Maries-de-la-Mer, en Provence, le 2 février, il y a près de 2000 ans.

    Près de l'abbaye de Saint-Victor, dans le cœur de Marseille, le four des navettes n'a pas cessé de cuire cette pâtisserie depuis 1781. Mais quand vient la Chandeleur, le second jour de février, après la procession, tout le monde déguste des navettes. L'archevêque de Marseille bénit une fournée de ces biscuits et le 12 février, la Vierge noire de l'abbaye fait une apparition dans ladite chapelle.

    On les achetait jadis douze par douze, une pour chaque mois de l'année et elles accompagnaient les fameux cierges bénis dont la flamme vacillante protégeait de la foudre mas et bergeries.



  • La silhouette de l'église Notre-Dame de Royan s’impose de loin.


    L'église Notre-Dame de Royan a été classée monument historique en 1988.

     


    L'orgue est également classé monument historique depuis 1988.

     

    Le chœur est éclairé par un vitrail composé d'un triangle de verres colorés à dominante bleue et rose, représentant la Vierge de l'apocalypse  écrasant le serpent du mal, une œuvre du peintre Claude Idoux

     

     

    L’utilisation du béton a permis une construction rapide et une grande audace architecturale mais l'évolution de ce matériau a nécessité des rénovations importantes au cours des dernières années.


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      Tradition marseillaise  pour la chandeleur

    article de demain ....