• Le MuCEM a  décidé d’organiser sous le titre « Le Monde à l’Envers » une exposition consacrée aux pratiques carnavalesques contemporaines et ce du mois d'Août 2013 à Août 2014.

    A ce jour l'exposition est démontée mais grâce à ces photos je vous propose de la parcourir ...

     

    MUCEM - le monde à l'envers ( Marseille)

    "Comme la plupart des fêtes populaires, le carnaval est un rite lié au changement de saison ou d’année et au passage d’un âge à l’autre de la vie des hommes.

    Les modifications de calendriers ont bouleversé ses liens avec le temps mais la célébration a gardé à travers les siècles un certain nombre de caractéristiques."

     

     


  • Nous voici de nouveau à Marseille. Nous prenons la navette maritime à l'Estaque (quartier de Marseille) qui nous dépose au Vieux-Port. Passage obligé sous l'ombrière du Vieux port, et devant la Mairie.

     Nous empruntons ensuite la passerelle qui nous conduit au Fort St Jean.

    Un magnifique panorama sous nous yeux: le Vieux-Port côté nord et les jardins du Palais du Pharo côté sud. (ci-dessous)

    En route pour le MUCEM à Marseille

     

     

    Le vent dans tes cheveux blonds

    Le soleil à l'horizon

    Quelques mots d'une chanson

    Que c'est beau, c'est beau la vie.....

     


  • A Aigues mortes, 12 sauniers mettent leur savoir-faire au service du sel. Chaque jour, ils parcourent les 340 km de piste, guidant le sel, de la mer jusqu’à l’usine. Ils ne forcent pas la nature : produire du sel prend du temps, et à chaque étape sa saison.

     

    AIGUES-MORTES  les salins (2)

    Chaque année, la récolte dure un mois, en septembre.

     450 000 tonnes de sel sont ainsi récoltées et stockées sous forme de grosses montagnes blanches. Ces « camelles »mesurent en moyenne 400 mètres de long et 25 mètres de haut.

    La collecte est mécanique. Ce qui n’est pas le cas pour la fleur de sel, ramassée à la main par les 12 sauniers du site.

    Les sauniers baguent les oiseaux (couronne d’aluminium accrochée à la patte), surveillent les oiseaux protégés et créent des îlots pour favoriser la nidification. Ces agriculteurs du sel connaissent les milliers d’hectares du salin comme leur poche, mais aussi leurs habitants qu’ils protègent tout au long de l’année.

     


  • L'exploitation d'Aigues Mortes produit chaque année 500 000 tonnes de sel et en fait une référence mondiale. 

    En Camargue, le sel est très largement présent dans le sol et la nature du terrain très plat et argileux, parsemé d'étangs, se prête bien à l'extraction du sel de mer. C'est également la région où l'évaporation est la plus intense et les pluies les plus faibles.

     

     

    AIGUES-MORTES les Salins (1)

    La vocation salinière d'Aigues-Mortes remonte à l'Antiquité. Peccius, ingénieur romain, a été chargé, au début de l'ère chrétienne, d'y organiser la production du sel. 

    En 1856, les différents propriétaires de salins s'unissent pour fonder les Salins du Midi.

    Les bassins de préconcentration et d'évaporation de Salin-de-Giraud s'étendent sur 14 000 ha. 

    Le Salin d'Aigues Mortes est dédié à la culture d'un sel de mer de qualité, essentiellement destiné à l'alimentation.

     


  • CARNAVAL VENITIEN qui dure un week end

    La "bauta"(ou bautta) : ce n’est pas seulement un masque, c’est un déguisement à part entière.

    En effet, traditionnellement la "bauta" se composait d’un voile noir (le tabarro) couvrant les cheveux, les épaules et descendant à mi-poitrine, d’un tricorne (chapeau noir à trois côtés très à la mode à l’époque) et d'un masque nommé " larva " ou "volto " (du latin fantôme).

    Ce masque est le plus abouti car il permet de conserver le plus grand anonymat.

     

    Les Flâneries au Miroir à Martigues (1)

    Ne couvrant pas la bouche, il permet de boire et de manger sans être enlevé et donc sans risque de se faire reconnaître (le bas du visage était parfois voilé d’un petit rajout de dentelle noire sous le masque). Sa forme particulière au niveau du nez crée un changement de la voix. Même les prêtres et les nonnes portaient la bauta pour profiter des plaisirs de la fête sans se faire reconnaître !

     

     





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