• Nous quittons Notre Dame de Lorette pour aller au château.

    Nous arrivons sur une grande place : au milieu  un très beau lampadaire des années 1860.

     

    PRAGUE - Quartier du château

    Ensuite le Palais Sternberg, qui est le musée de la Galerie nationale le plus fréquenté.

    Situé en face du palais Sternberg, le palais Schwarzenberg d’influence vénitienne, les sgraffites qui le couvrent donnent l’illusion de pierres taillées en pointe de diamant. Il abrite une exposition de la Galerie nationale sur le baroque en Bohême, avec des sculptures et peintures des grands maîtres pragois.

     


  • Notre dame de Lorette (suite)

    Le clocher à bulbe abrite un carillon de 27 cloches qui « chante » toutes les heures un cantique.

    PRAGUE-Notre dame de Lorette (2)

    L’intérieur 

    Le cloître du XVIIe, couvert de fresques, servait à abriter les pèlerins. Au milieu se trouve la Santa Casa, œuvre d’artistes italiens, qui l’ont richement ornée de reliefs. Derrière s’élève l’église de la Nativité, où l’on recense une véritable surpopulation de chérubins ! Au plafond, la Présentation de Jésus au temple, peinte par Reiner.

    A l’étage du cloître, il faut parfois faire la queue pour accéder au trésor, une collection de rutilants ouvrages d’orfèvrerie religieuse des XVIIe et XVIIIe. Le plus célèbre, le Soleil de Prague, est un ostensoir viennois couvert de 6 222 diamants.

     


  • Notre-Dame de Lorette est le plus important lieu de pélerinage marial de Bohême. Le sanctuaire s'ordonne autour de la Santa Casa, fidèle copie du modèle italien. Il abrite de nombreuses richesses artistiques dont l’église de la Nativité, le trésor d’art sacré et le célèbre carillon, dont les cloches rythment la journée du quartier du château.

     

    PRAGUE - Notre dame de Lorette

     Celle-ci fut construite entre 1626 et 1631 sur commande de la baronne Bénigne-Catherine de Lobkowitz, et jouit d’un grand succès populaire à l’époque baroque. Le sanctuaire est encore de nos jours géré par la communauté voisine de moines capucins.

     

    Comme dans le modèle italien, la Santa Casa de Prague offre un contraste frappant entre un intérieur très modeste en brique, et une décoration extérieur luxueuse, avec des bas-reliefs en stucs représentant des scènes de la vie de la Vierge.

     


  • La maison dansante est le surnom donné à l'immeuble Nationale-Nederlanden, un immeuble de bureaux du centre de Prague .

     

    PRAGUE - nouvelle ville au bord de la rivière

     Œuvre conjointe de l'architecte tchèque d'origine croate Vlado Milunic et de l'architecte américano-canadien Frank Gehry, il est situé sur les quais de la rive droite de la rivière Vltava. 

    Sa construction, entreprise en 1994, fut achevée en 1996.

    On continue la promenade le long de la rivière.....On y trouve  de nombreux petits bars, restaurants, des locations de bateaux...

     


  • Toujours dans le quartier juif de Prague

     

    Le bâtiment de l’hôtel de ville du quartier juif échappa de justesse aux plans d’assainissement de la fin du XIXe siècle censés réhabiliter presque tout l’ancien ghetto juif. Il fut édifié à la fin du XVIe siècle, en même temps que la Grande synagogue qui se trouve juste à côté. Après le grave incendie de 1754, l’hôtel de ville subit une rénovation baroque qui lui donna son aspect actuel. Les aménagements ultérieurs, dans le style rococo, ne concernent que la façade intérieure. La tour en bois sur laquelle se trouve une horloge dont les aiguilles tournent de gauche à droite autour de chiffres hébreux domine de façon magistrale le toit mansardé de l’hôtel de ville. Il est également le centre de la communauté juive de Prague

     

    Franz Kafka est un écrivain pragois de langue allemande et de religion juive

     

     

    PRAGUE - le quartier juif (2)

    Synagogue jubilaire

    La construction de cette vaste synagogue est décidée afin de compenser la destruction de plusieurs lieux de culte juifs lors des campagnes de réaménagements de la ville au cours du XIXe siècle. Elle doit son nom de synagogue « jubilaire » à la célébration du jubilé d'or de l'empereur François-Joseph Ier d'Autriche en 18981.

     






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